"Blanc sur Blanc tout fout le camp" - En photo sphère !
Avec Bernard Adamus à Orléans !
On se la refait comme il y a quelques années avec un petit "résumé de concert". Je suis en forme, ou alors c’est le sujet qui fait que c’est sûrement plus facile.
Jeudi 19 Septembre, départ de Bourges en fin d'après midi, direction Orléans au Festival de Loire, pour voir Bernard Adamus !!! Depuis quelques mois un compte à rebours m’indiquait cette date, que de toute façon je n’aurais pas oublié.
Arrivée, avec largement 2h30 d’avance, on profite du bord de Loire, un endroit bien sympathique ma foi !!
Après avoir tourné 30 minutes pour trouver un distributeur, nous voilà à la Belle Équipe, une scène tenue par l’association ABCD. Une belle petite terrasse façon cabaret, nous prenons place devant la scène, en écoutant les balances des Artistes…
Et op, c’est parti « Y fait chaud j’dors pas » … 1ère, 2ème, « C’est moi l’fou d’l’île M.t.l la ville » 3ème tounes, je trépigne sur ma chaise, personne se lève (?!), enfin un sauveur sur notre droite et bel enchaînement avec « La foule » qui en fait lever certain, on enchaîne, plus ça va plus les gens dansent, on bouge les tables les chaises, la piste est prête… J'essaye désespérément de faire la chorégraphie du nouveau clip « Entre ici pis chez vous »*, mais c'est peine perdue... En tout cas une belle foule, qui écoute, qui danse, une énergie sur scène, un bel échange entre eux et avec nous… que demander de plus.
Et voilà, ça sent là fin, après « Où ça » … « RUE ONTARIO », un moment de calme bien mérité avec « Le Scotch goûte le vent » et c’est déjà l’heure de dire au revoir et surtout MERCI, pour votre bonne humeur, votre efficacité, ce partage, … vous avez conquis de cœur de certain et réussis à me (re)donner le sourire pour un bon bout’ d’temps.
Après une très bonne nouvelle reçu par texto, je profite du reste de la soirée, un peu euphorique par moment… une virée dans les ruelles d’Orléans, à la recherche d’un bar ouvert jusqu'à 3h, direction le parking… NON …. Je veux « Acapulco », j’ai envie de « 2176 »… J’en veux encore… on se revoit dans quelques jours à Paris… (Jeudi 26 Septembre - Trois Baudets)
Retour à Bourges à 4h30, de nuit, sur autoroute et sous la pluie, tout ce que j’aime… mais avec un super copilote (ouf.. et merci... L'Irlande)
Avec
Bernard Adamus au chant, guitare et harmonica, Tonio Morin-Vargas à la Batterie,
Renaud Gratton au Trombone, Philippe Legault au Sousaphone,
Jérôme Dupuis-Cloutier à la trompette et au clavier
Sans oublier Sébastien et Pat
édité le 21 septembre 2013
2176 - Bernard Adamus
L’homme d’la situation, c’est l’plus p’tit d’mes grands chums
Poilu comme une guenon, y’est en bedaine sul’balcon
Envoye pars le barbec, moé j’vas aller au dep chercher des frettes
Mais là, Val a vient d’arriver, faque j’vire de bord, j’y donne 2 becs
Elle c’est DJ Traînée, c’est l’hôtesse d’la maison
Les yeux verts, les cheveux roux avec une maudite tête de cochon
A’ lâché les grosses dopes, tombée en amour, c’pas d’sa faute
Faut croire qu’y ont ben faite ça, leu’ p’tit y’est drôle comme ça s’peut pas
Tothor, c’est l’plus fort, y’attendrirait l’cœur d’un motard
Quand qu’y s’prend pour Flash McQueen
Ou ben qu’y joue au hockey dans l’corridor
Watch tes tibias quand ça s’transforme en pirate
Trois ans, une épée de bois, du tork pis ça frappe
On est-tu ben icitte au 2176 avec nos gros travers pis toutes nos histoires de baises
On est-tu ben heureux, tranquille on vire quasiment vieux
Les fins de semaine ont laissé une coup’ de rides en d’sour de nos cernes
La carotte qui s’ramène, a’ bisouné toute la semaine
50 heures dans l’punch clock, un gros salaire, c’pas une question d’luck
A’ quasiment toute essayé même les ballons sur son nez
Y reste rien qu’une p’tite question asteure et pis c’est celle du bonheur
Beau bonhomme, y’est pas bête, en plus de ça, y’est honnête
Y manque rien qu’une tite bonne femme pour qu’son p’tit cœur soit en fête
Y traîne avec la fille aux cheveux de champ de blé
Pis tant qu’à moé, y’ont un drôle d’erre d’aller
L’amour, c’pas évident, s’entendre avec un autre, c’est aussi tough qu’avec soi
C’est sûr qu’a look la grosse tonne, a t’fait feeler comme un homme
Mais m’semble que toi tu marches drette pis qu’elle a pense comme un bum
On est-tu ben icitte au 2176 avec nos gros travers pis toutes nos histoires de baises
On est-tu ben heureux, tranquille on vire quasiment vieux
Les fins de semaine ont laissé une coup’ de rides en d’sour de nos cernes
Belle Sophie pleine d’amis, toutes ses cartes à l’appui
D’la parlure pis du sourire, 3, 4 vies dins vieux pays
Des centaines de grosses veillées, envoye Amsterdam! Ecstasy!
Mais là, miroir, miroir, qu’est-ce qu’y fait là l’ostie d’cheveu gris?
20 ans d’grosse liberté pas d’stress pis pas d’rush
Mais la quarantaine a vient d’sonner pis pas d’bonhomme c’t’un peu poche
Côté trophée cœur en or a fracasse tous les records
Mais comme laver du linge c’est dull, ben j’y pardonne ses 2 bords
Pis si Tothor c’est l’plus fort, j’pense que Vigneault c’est l’plus beau
L’bonhomme y’a jamais eu d’piaule, y croise une bonne femme y pogne 2 flos
Sa Jess v’nait d’Beesonville que'que part à Shawinigan County
A’ pogné les hobo blues à 15 ans, sacré son camp en après-midi
Des fois que je pense que je comprends c’que son sourire sous-entend
Des grosses amours avec mom mais avec dad moins évident
On est-tu ben icitte au 2176 avec nos gros travers pis toutes nos histoires de baises
On est-tu ben heureux, tranquille on vire quasiment vieux
Les fins de semaine ont laissé une coup’ de rides en d’sour de nos cernes
Dans une autre vie, j’pense que j’tais un 18 roues
J’buvais du gaz pis j’mangeais des clous
Si j’tais pas un Peterbuilt, j’devais être au moins un Kenworth
J’ai pris d’la bière avec ODB que’que part en banlieue de Perth
Une chance que j’ai rien dit pis qu’j’ai rien raconté
Leurs histoires c’pas d’mes affaires, chez nous l’amitié c’t’un peu heavy
On a des grosses histoires d’amour, on parle tard pis c’est lourd
Pis quand tu fuck avec la puck, ben pas de chance pis good luck...
On est-tu ben icitte au 2176 avec nos gros travers pis toutes nos histoires de baises
On est-tu ben heureux, tranquille on vire quasiment vieux
Les fins de semaine ont laissé une coup’ de rides en d’sour de mes cernes
from N° 2, released 25 September 2012
Bernard Adamus : Guitare, harmonica, voix
En écoute ici
Bernard Adamus En tournée en France (2013)
Vendredi 19 Avril - Train Théâtre / Portes les Valence (26)
Samedi 20 Avril - Le Tournebelle / Narbonne (11)
Dimanche 21 Avril - Les Agités du local / Belvezet (30)
Mardi 23 Avril - Le Bijou / Toulouse (31)
Mercredi 24 Avril - Le Bijou / Toulouse (31)
Jeudi 25 Avril - I Boat / Bordeaux (33)
Vendredi 26 Avril - Les 3 Ptits Cochons / Printemps de Bourges (18)
Samedi 27 Avril 2013 - Alamzik / Bagneres Bigorre (65)
Mardi 30 Avril - Le Krill / Onet le Chateau (12)
Jeudi 2 Avril - Festival Aurore Montréal / Divan du Monde Paris (75)
Une mention spéciale pour le concert suivant :
Nouvelles dates en septembre en Europe :
Bernard Adamus
Et voilà un artiste Québécois que j'ai découvert il y a bientôt 1 an, un style telement particulier que j'ai du mal à vous l'expliquer, blues, rock, punk ...
Je vous laisse le découvrir en vidéo et sur son site ou il y a toutes les musiques de ces deux albums - "Brun" et "N°2"
Clip officiel de "Ouais ben" extrait de l'album "N°2"
Initia-Tim
Enfin un grand week end avec un lundi de pentecôte plus le mardi et le mercredi... Bref cinq jours magique...
Mes Aïeux
Les Cowboys Fringants
Comment faire un blog sur les groupes que j'aime sans parler des Cowboys Fringants... Le groupe qui m'a donné chaud plus d'une fois... Donc voilà une bonne occasion, avec la sortie du prochain album "Que du vent" en novembre.
(Au QUÉBEC le 15 novembre en magasins le 14 novembre sur iTunes - EN EUROPE le 14 novembre en digital et le 21 novembre dans les bacs.)
Plus d'infos sur leur site
Une petite mention spéciale pour parler de La Fondation des Cowboys Fringants, plus d'explication et cliquant sur le lien ou sur "Le Musicodrome" blog dans lequel un article à était écrit récement - CLIC ICI
On se quite en musique, rien a voir avec le dernier album mais comment parler d'eux sans mettre une chanson d'un de leur album (mon préféré) La Grand Messe :
éditée pour la première fois le 20 octobre 2011
Morro - "T'es dingue"
MORRO - T'es Dingue par ErrancesDiffusions
MORRO - "T'es Dingue" - Filmé au Nadir / Emmetrop - Bourges (18 )
Vendredi 25 Mars 2011 - Concert fin de résidence.
Le groupe Morro
MORRO - Vendredi 8 Octobre - L'OMNIBUS - Saint-Malo (35)
Plus d'infos :
L'Omnibus - Rue des Acadiens - 35400 SAINT-MALO - Tél : 02 99 19 00 20
http://www.lomnibus.com
et sur Gaëtan Roussel :
http://www.gaetanroussel.com
Plus d'infos Sur Morro :
Ali Fekih joue et danse "Les flamants roses" - Biennale de Danse de Lyon
Les 23, 24 & 25 septembre 2010
A 19 heure / 10€
A la Maison de la Danse au Studio Jorge Donn
Compagnie Ali Fekih
"Les flamants roses"
Solo
Création 2009
Hors des sentiers battus, Ali Fekih parcourt l’arc de son destin du levant au couchant. Son geste: inscrire son propre langage dans le poème du corps.
La beauté de l’oiseau rare et flamboyant est pour Ali Fekih un emblème. Ses flamants roses ne se déclinent pas au pluriel, il s’agit d’un solo. Mais avec sa voix au bord des mots et ses gestes éclatés entre prouesses et déséquilibres, l’artiste saltimbanque s’exprime pour tous. La nostalgie d’un autre corps fait de cette impossibilité même le moteur d’un acte poétique fortement engagé dans la performance.
Le danseur n’a pas choisi les chemins tumultueux de sa propre histoire, forgés par l’errance, les voyages et les rencontres, ce qu’il retrace dans Des équilibres... à quoi ça tient. Fort de cette expérience, il poursuit son combat au-delà même de l’adversité. Danser, pour tous ceux qui comme lui ont à compenser un handicap, et prouver que c’est possible en inventant son propre vocabulaire. Comme l’oiseau, l’artiste a les jambes fines et fragiles, mais c’est par les objets, sa présence étonnante et ses propres mouvements qu’il réinvestit l’espace. Et du moindre détail, au plus simple matériau, il intègre la différence dans le langage de l’art.
The titular pink flamingos are an emblem: nostalgia for another body drives Ali Fekih’s engaged, poetic act. But with his verging-on-words voice and his gestures – a blend of prowess and imbalance – the entertainer speaks for us all. He draws on a turbulent life to reach beyond adversity: dancing for those who, like him, must offset a disability; and proving it can be done by inventing one’s own vocabulary. With every slightest detail and item – garment, plastic bag, stick – he adds a dimension of difference to the language of art.
Auteur et interprète : Ali Fekih
Mise en scène : Patrick Haggiag
Chorégraphie : Anne-Catherine Nicoladzé
Création sonore : Fanny Martin - Création lumières : Emilie Barrier
Plus d'infos :
Maison de la Danse au Studio Jorge Donn
8 avenue Jean Mermoz 69008 Lyon
Réservation : 04.27.46.65.65
Site de la Biennale de Lyon